Rémy D. Wiedemann, collectionneur de parcours
Artisan, écrivain, engagé volontaire, opposant politique, père de 11 enfants, Rémy D. WIEDEMANN prépare aujourd’hui le public face à la Justice et face au pouvoir.
Alors qu’il est à la fois étudiant et comédien (notamment post-synchronisateur pour le cinéma), il part vivre au Japon à 18 ans. Durant la guerre en Croatie, il s’engage dans la résistance en mai 1991. Les inondations catastrophiques de Vaison-la-Romaine en septembre 1992 le ramènent en son château familial dévasté, pour sauver ce qui peut l’être. A côté de chambres d’hôtes qu’il crée, il vit (mal) des productions d’une petite société d’export qu’il a fondée avec sa femme. Il écrit des pièces de théâtre et des romans. En 2008, il se lance en politique et devient Conseiller national puis Président départemental du Mouvement Démocrate. Ayant enfin remporté l’élection à la présidence nationale du mouvement (sic !), Bayrou, vaincu, mais trafiquant le résultat, le chasse via une procédure dilatoire que l’auteur fera casser par le tribunal. En 2020, exilé en Malaisie et développant deux activités, dont une écologique, il crée son propre parti politique. Ce qui le conduit en prison. En 2024, il revient avec la force d’un parcours d’exception.
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Après un bac éco, Rémy étudie le Japonais et le théâtre à Paris. Pour le théâtre, il fréquente les cours de l’Actor’s studio, ceux de Pierre Spivakoff et de John Strasberg. Il suit en parallèle des cours de japonais à Tenri. Polyglotte, il part pour le Japon, où la vie est très dure, il enchaîne les petits boulots et entame l’écriture de Reinhardt Tarkand.
Rentré en France, il rencontre sa future femme aux Langues Orientales (à Dauphine, intégration directe en deuxième année), fait un peu de politique (au côtés des membres de l’UNI face à une extrême-gauche violente), se marie (il aura 7 enfants d’un premier mariage), va au Chili, en Corée, à Taïwan, en quête de perspectives. Il rentre en Provence pour achever le premier tome de Reinhardt Tarkand.
La guerre
Parti vers la guerre en ex-Yougoslavie, il rejoint la résistance croate qui fait face à la INA (armée communiste yougoslave),
et de ce fait est invité à rencontrer le président en exercice Franjo Tudjman.
Le mariage religieux, jusque là reporté, aura lieu en Croatie, à Zagreb (qui a été bombardé une semaine plus tôt).
A Paris est co-fondateur d’une petite ONG : « Solidarité France-Croatie ». Il rencontre à cette occasion le dernier président yougoslave Stipe Mesic.
La maison familiale
La catastrophe naturelle se produit alors à Vaison-la-Romaine, l’Ouvèze entre en crue. C’est là que se trouve la maison familiale. Rémy descend s’occuper de ce bien, déjà largement diminué par une France en crise et cette fois menacé, avec 500FF en poche.
Il crée des chambres d’hôtes, seul moyen pour sauver cette maison, pour laquelle la vigne ne produit plus assez.
C’est aussi l’époque de travaux manuels et de culture agricole. Une première chambre d’hôtes permet un emprunt bancaire.
Travaux, écriture, conférences et correspondance
Déménagé dans le sud-ouest (en Haute-Garonne), Rémy D. WIEDEMANN tente de survivre avec sa famille, en travaillant d’arrache-pied à l’entreprise créée en Provence, et aux travaux de restauration de la maison (achetée à l’état d’abandon).
La faillite est cependant inéluctable dans un pays qui croule sous les charges.
L’auteur toujours anonyme persiste à écrire et échanger des lettres avec des auteurs qu’il respecte.
En 2007, il s’engage en politique. Le simple militant travaille dur et devient conseiller national à Noël.
Puis, affrontant le centre-ville toulousain depuis sa campagne, il est élu président départemental. Ce que Bayrou ne tolérera pas, puisque celui-ci misait sur un franc-maçon local, bâtonnier.
Rémy fait une grève par le froid, durant 30 jours, pour soutenir les ouvriers licenciés de MOLEX, très populaire, et qui irrite la section communiste locale (qui tripatouille comme d’habitude). Cette grève héroïque se termine en hypothermie.
Exilé
Après la faillite de sa société CHATEAU DE PROVENCE, et quelques années de salariat à Paris dans le domaine de la sécurité, en 2011, il crée sa propre activité de « nomade digital ». C’est le site l-ecole-a-la-maison.com (bientôt classé n°1 sur google devant… le site financé par le Qatar et celui du gouvernement français), l-histoire-du-soir.com puis je-cree-mon-blo-pro.com. Il aide des milliers de familles et obtient la note de 5 étoiles sur google qu’il conserve encore aujourd’hui. En 2015, achevant un projet de plusieurs décennies, réussissant enfin à réunir quelques fonds, il quitte ce qu’il appelle « le Bloc de l’Ouest » pour s’installer en Malaisie. Ayant enfin de quoi vivre, il crée une société malaisienne, qui existe toujours: RNGE. Celle-ci achète les poubelles de la population pour en faire de l’énergie et des produits dérivés. Ce procédé permet de nettoyer des zones entières et les choses vont bon train.
Emprisonnement
Cependant, vivant douloureusement la situation française où la violence d’Etat et les lois folles se multiplient, il annonce sa résolution de renverser le gouvernement. Le président en exercice, Emmanuel Macron, qui confie à son entourage qu’il a « très peur », le fait alors jeter en prison avec sa famille en faisant pression sur le gouvernement malaisien (l’enquête dira quel chantage a été employé).
Interpol innocente Rémy DAILLET. Néanmoins, toute la famille est ramenée de force, sans aucun mandat international, et donc à nouveau en violation de tous les droits. En France, les médias aux ordres se copient les uns les autres dans une énorme campagne de lynchage, « façon Ku-Klux-Klan », dira l’auteur.
A l’isolement complet pendant deux ans dans la maison d’arrêt de Strasbourg, celui qui est ce qu’il faut bien appeler un prisonnier politique écrit 6 livres.
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