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Rémy DAILLET mis hors de cause. La fin de l’USAID, la fin des accusateurs officiels !

La presse a dit énormément de bêtises sur Rémy DAILLET

La couverture médiatique de Rémy Daillet a souvent été marquée par des inexactitudes et des généralisations. Des publications telles que Le Monde ont rapporté des informations erronées, notamment en le qualifiant de « figure du complotisme » sans fournir de preuves substantielles. Mais cela est vrai aussi pour France-Inter, RTL, RMC, France-Info, L’Observateur, et tous les autres médias subventionnés, qui tous ont parlé de Rémy DAILLET-WIEDEMANN avec un ton qui était courant durant la décennie 2010-2020. Celui qui recourait, sans examen, à une syntaxe bien marqué: complotisme, fachosphère, ultra-droite etc. C’est-à-dire la syntaxe employée systématiquement, dans cette période, par cette presse officielle (exemple: lemonde.fr).

Rémy DAILLET constate, dès avant son arrestation, que les dizaines de journalistes qui l’appellent fiévreusement lui posent… les mêmes questions, absolument, littéralement les mêmes. Preuve qu’elles circulent entre rédactions.

Il rappelle également que toute cette presse appartient aux mêmes puissances d’argent, lesquelles… défont ou font les politiciens qu’elle veut, tel l’inénarrable M. Macron (l’homme politique le plus détesté des Français et Français le plus détesté des étrangers).

Du moins, la presse essaye de faire et défaire des personnalités. Mais l’époque a changé. La presse alternative rafle maintenant bien plus de vues que la presse officielle (exemple de Tocsin).

Rémy DAILLET: un exemple magistral de ce qu’est a manipulation des médias officiels

Wikipédia, en tant que source largement consultée, a également contribué à cette désinformation. L’article consacré à Rémy Daillet-Wiedemann présente des affirmations non vérifiées et des interprétations biaisées de ses actions et de ses opinions.

Selon Paul Conge, journaliste de Marianne, les médias ont souvent reproduit les mêmes articles et arguments par « paresse et mimétisme », sans mener d’enquêtes approfondies.

Même lorsque Rémy DAILLET est mis hors de cause, dans des articles tels que celui cet autre, ou cet autre-ci. Si l’idée est : « Au terme de l’enquête, le Parquet National Anti-terroriste a mis Rémy DAILLET hors de cause », ces journaux officiels n’en font pas leur titre, quoiqu’ils aient affirmé à forces cris qu’il était coupable.
La manipulation ne s’arrête donc pas à la date de cette décision de Justice fatale. On a bien affaire à un esprit ségrégationniste, tel que celui qui frappait le Pr Fourtillan, le Pr Perrone, Sylvano Trotta, Mme Henrion-Caude, Thierry Casasnovas et des dizaines d’autres opposants au système. C’est toujours le même vocable: « Figure du milieu complotiste », « extrême-droite » et toute la litanie de la haine institutionnelle qui font les mots d’ordre de ces médias dits indéebndants, et qui sont désormais coupés des mannes de l’USAID.

USAID: c’est fini !

Sans ces secours à coups de millions, la presse occidentale va devoir baisser d’un ton.

Au total, ce sont plus de 6.200 journalistes, 707 médias et 279 « ONG » médiatiques qui étaient arrosés pour fabriquer et tordre l’information, mais aussi la masquer à mort, par exemple quant aux conséquences du vaccin anti-covid ou de l’originie du virus fabriqué dans le laboratoire Byzyn-Levy-Soros de Wuhan. Rien qu’en Ukraine tant soutenue par la presse mainstream, 9 journaux sur 10 vivaient du soutien direct de l’USAID qui aura en conséquence joué un rôle majeur dans le coup d’état de février 2014. Un million de morts en Ukraine, c’est l’USAID et les médias occidentaux !

La prestigieuse BBC était elle-même sponsorisée à concurrence de près de 10 % – des millions par dizaines- par l’USAID, cette BBC qui, à l’instar de tous les médias mainstream accusent aujourd’hui les Russes d’ingérence électorale alors qu’ils sont eux-mêmes pourris jusqu’à la moelle par les démocrates de la Maison Blanche.

Ces rédactions tenaient sur l’argent de la subversion US. Cette presse soi-disant indépendante était et reste ultra-dépendante. C’est pourquoi elle ne pouvait que haïr Donald Trump, ou Vladimir Poutine, qui insistent régulièrement sur la fin du financement à la presse corrompue.

Le métier de journaliste n’est pas compatible avec la corruption. Or, c’est encore et toujours la règle des médias subventionnés en Occident (et parfois ailleurs, quoique pas partout).

Décisions de Justice: comment la presse s’en sert… ou les tait

Il est important de noter que les accusations portées contre Rémy Daillet ont été examinées par la justice, qui l’a mis hors de cause. Cette décision judiciaire souligne la nécessité de distinguer les faits avérés des spéculations médiatiques.

Il est extraordinaire de constater comment la presse subventionné a réagi face à la mise hors de cause prononcée au bénéfice de Rémy DAILLET. C’eût dû être l’occasion de titres correctifs. Mais tel n’est pas l’usage. La haine est tenace. C’est uniquement dans des article réitérant des accusations complotistes antifascistes qu’est glissé la mention de cette mise hors de cause. Un exploit de mauvaise foi !

Pour une analyse détaillée et des informations vérifiées sur Rémy Daillet, il est recommandé de consulter la rubrique Rémy DAILLET débunké le site Renversement.fr, qui propose des décryptages approfondis, des vidéos présentant le personnage sous divers jours et des démonstrations intéressantes aussi bien sur le plan politique que sur le plan philosophique, voire métaphysique, toutes occultées par la Presse subventionnée.