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Reinhardt Tarkand, tome 1

29,73 

Tome 1 de la saga, le premier volet (sur trois) présente Reinhardt Tarkand, officier déserteur de l’Armée rouge, qui est poussé en avant par d’anciens combattants des guerres de Transbaïkalie à faire revivre la Mongolie d’autrefois. Fuyant l’Union soviétique, il traverse le désert de Gobi, entre en Chine puis monte vers le Tibet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

UGS : 4mxdm Catégorie : Étiquette :

Tome 1 de la saga. 776 pages.

En cas de difficulté, achetez au même prix ici.

4ème de couverture

Le soir du 18 juin 1937, une grosse embarcation de pêcheur traverse le Baïkal. A son bord, un officier de cavalerie soviétique, déserteur, désigne du bout du canon de son fusil la tempe d’un pêcheur menant son embarcation en tremblant. Au loin, Irkoutsk brûle. A près minuit, la grande explosion se produit. Non seulement l’officier, resté debout, ne paraît pas étonné, mais lui devine une sorte de satisfaction aux commissures des lèvres…

La tête du déserteur est mise à prix.

Existe aussi en trois tomes :

Volume 1 : A  l’Aube des Victoires — Volume 2 : Bruits du Monde, jusque dans le Temple — Volume 3 : Derniers Actes des Hommes

L’HISTOIRE EXCEPTIONNELLE DU LIVRE

Un livre qui en est passé par bien des tribulations. Il a été découvert par… le découvreur d’Ernest Hemingway.

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CE QU’EST CE LIVRE

Derrière une épopée historique, une parabole, figure de grand texte du XXème siècle pour les lecteurs du XXIème.

Aventure, paysages, grandeur des perspectives, amour et guerre, Occident contre Orient. Le tome 1 a été complété, les tomes 2 et 3 ont été achevés en prison en 2021-2022.

Russie, Mongolie, Tibet, Chine, Mandchourie.

Incipit

“Fin juin 1938. Un officier soviétique, jeune capitaine de cavalerie, fuit à travers le Gobi. Le 18 de ce mois, cet officier a retrouvé un nomade, débarqué d’un train à la gare d’Irkoutsk. Quelques heures plus tard, l’arsenal de la caserne a explosé et un incendie s’est propagé à la ville. Le coupable présumé, le fuyard, est le capitaine Reinhardt Tarkand, c’est désormais un déserteur. Condamné à mort par contumace, il devient brutalement l’espoir d’un peuple, un prince en exil…”

Recommandations d’auteurs et célébrités

Reinhardt Tarkand, le livre que Maurice de Y., le premier lecteur d’Ernest Hemingway, souhaitait voir achevé avant sa mort.

Au sujet d’une œuvre précédente de l’auteur, ils ont dit : « C’est un tour de force ! » (Jean d’Ormesson).

« Performance peu courante de nos jours » (Jean Raspail).

« Tout le souffle essoufflant de nos romantiques, une étrange musique de l’expression et de la véhémence dans la pensée » (François Fontaine).

« Continuez, contre vents et marées » (Marcel Jullian).

« Un travail dont l’élévation de pensée vous honore » (Michel Tauriac).

« La grande fresque brillante qu’on attendait depuis Tolstoï, en kodacolor » (Catherine V.).

« Je suis en cours de lecture du troisième tome de REINHARDT TARKAND, c’est littéralement renversant ! » (Cédric)

« Je l’ai reçu il y a quelques jours, je l’ai commencé et je voulais vous faire un premier retour d’impressions. D’abord, je dois dois préciser que je ne vais pas facilement vers les romans, car de base, j’ai assez à faire avec mon fil à tenir dans ma vie pour ne pas me distraire avec les inventions des mondes intérieurs des autres… j’y perds l’équilibre en fait, mais j’ai eu quand même envie de tenter l’expérience avec Reinhardt Tarkand après avoir lu l’histoire de votre livre – et vous faites si bien de la partager… Je suis entrée dedans très vite, à ma surprise, et j’adore vos suggestions musicales, elles donnent soudainement du volume aux scènes, j’ai l’impression d’entrer dans Dersou Ouzala de Kurosawa. J’aime que votre livre soit historique, qu’il soit rédigé en bon français est aussi un baume de lecture, et après avoir lu quelques pages seulement, on y a appris quelque chose, on en sait un peu plus sur un peuple, sur une région, un pays, sur une période… j’ai hâte de retourner à la lecture (je n’en ai que  peu le loisir, mais du coup, je l’apprécie d’autant plus). Voilà, je vous raconterai la suite de mes impressions de temps à autre. » (Cécile C.)

“A mon grand soulagement, le texte est agréable à lire. J’avais quelques appréhensions qui se sont dissipées assez rapidement. L’histoire est intéressante, très instructive. J’aime comme vous variez les passages d’action, de dialogue, de réflexions politique, historique, stratégique, philosophique. Vous décrivez avec précision les situations, les décors et les ambiances sans longueurs superflues. La richesse de votre vocabulaire continue de m’ impressionner. J’aime que les scènes de batailles ne s’éternisent pas. Votre délicatesse à nous épargner trop d’imprégnation me convient parfaitement. Je me demande souvent où se trouve la frontière du roman et de la réalité historique dans votre récit, mais c’est pour moi le format idéal pour aborder une page géopolitique si dense sans qu’elle soit rébarbative. J’aime le temps que vous prenez à “méditer” avec nous, lecteurs. Souvent, l’une de vos phrases nous incite à l’introspection, comme ce fut le cas avec vos “Pensées Accouchées de la Prison d’Occident”. L’une d’elles qui m’a déconcentrée un bon moment et que j’ai noté, c’est : “– C’est idiot. Que connais-tu de beau qui ne soit pas une cérémonie ? “ J’étais amusée quand Reinhardt a recruté, constitué ses équipes et pris ses décisions loufoques, déstabilisantes autant qu’efficaces. J’avais l’impression de reconnaître le Rémy Daillet de 2021, du moins, l’idée que je m’en faisais. J’aime que vous valorisiez l’intuition et l’invisible. J’aime que vous dérogiez aux règles de la guerre pour épargner des vies. Je suis surprise d’avoir déjà fini le premier tome, c’est plutôt bon signe et encourageant pour découvrir avec le tome 2 la suite des aventures de Reinhardt. Merci à vous Rémy. De moi-même je ne l’aurais pas lu. Je serais passée à côté de cette opportunité de connaître un pan énorme de la construction de notre monde présent.” (Isabelle G.)

« Un monument. Eblouissant. Des moments de bravoure sur un grand écran dressé dans ma tête ! Outre une épopée dans les paysages les plus fascinants, un roman qui nous permet de décrypter notre époque, qui se fait prophète, qui nous explique ce que peut devenir la violence d’une jeunesse en quête de sens, ce que peut être la fraternité humaine, ce que peuvent devenir les relations est-ouest, l’équilibre des puissances (Amérique, Europe, Asie…), qui nous rappelle là ce qu’ont été au XXème siècle la Chine et la Russie si terriblement au cœur de notre actualité, ce qu’on pu être les manœuvres des Etats-Unis, ce qu’a pu être le communisme dont le public occidental sait si peu de choses, et ce avec verbe éblouissant qui fait penser rien moins qu’à Victor Hugo, mais un Hugo philosophe et métaphysicien ! Je viens, je crois, de finir la lecture de l’un des trois plus grands romans jamais écrit en langue française ! (J.-J. S.-S.) »

Reinhardt Tarkand a reçu le Grand Prix de la Renaissance Aquitaine

L’auteur

Rémy D.-WIEDEMANN a commencé Reinhardt Tarkand sur les pentes du mont Fuji à 18 ans. Il part au Japon puis à travers l’Asie en quête de documents, d’impressions, d’images et de témoignages, il apprend les langues orientales, fait de l’investigation. Il aime situer ses aventures au sein des événements authentiques, grâce à des rencontres étonnantes, tel cet ancien gendarme de la Concession française de Shanghai, ces diplomates, cette native du Mandchoukouo, cet ancien pilote kamikaze qui a survécu ! En racontant Reinhardt Tarkand, Rémy D. WIEDEMANN parle d’une croisée de siècles, d’une croisée de continents : Occident et Extrême-Orient.

L’auteur. En prison avec toute sa famille ! 6 textes écrits durant son incarcération

A la Une des médias pendant deux semaines, en mai 2021, Rémy D. WIEDEMANN, fondateur d’un parti politique (30 000 adhérents) est désigné à la haine publique par des rédactions françaises qui le traitent de “gourou complotiste”. Ce père de famille militant pour l’arrêt des placements abusifs des enfants et le renversement du gouvernement Macron, est arrêté en Malaisie sans mandat international, pendant que se déchaîne une campagne de haine. Les médias tairont qu’il est déclaré innocent par Interpol, et que par ailleurs le vilain croque-mitaine “fasciste” est emprisonné avec sa femme et ses trois enfants (17, 9 et 2 ans), comme au temps de Dickens ! Ramenés en France sous contrainte et avec les seuls vêtements qu’ils ont sur le dos, lui est incarcéré pendant deux ans dont 1 an et 9 mois en isolement total, elle et les enfants se voient tout saisi, sans un sou, subissant toutes sortes de persécutions illégales.

Déclaré innocent par un non-lieu à l’été 2024 et indemne des reproches orchestrés sur sa personne par une presse agissant par “mimétisme et paresse” (Paul Conge, journaliste à Marianne) mais n’ayant rien vérifié, il développe sa pensée auprès d’un public qui s’élargit de jour en jour.

C’est un collectionneur de parcours. Comédien et post-synchronisateur pour le cinéma, il part vivre au Japon à 18 ans. Durant la guerre en 1991, il s’engage dans la résistance en Croatie. A la suite d’inondations en septembre 1992, il se retire dans le château familial dévasté et le restaure. Il écrit des pièces de théâtre et des romans. Au Chili, il écrira quelques-unes de ses meilleurs pages. A Séoul, à Taïwan, à Tokyo, à Hong-Kong, il trouve des éléments documentaires rares. Il revient en Provence pour achever le premier tome de Reinhardt Tarkand. Fils et petit-fils de député, neveu de Pierre de Boisdeffre (le biographe des académiciens), l’auteur est aussi le cousin d’Edwy Plénel.

En 2008, il se lance en politique et, s’appuyant sur les militants et non l’appareillage du parti, devient conseiller national puis président départemental du Mouvement Démocrate. Ayant finalement remporté l’élection à… la présidence du mouvement, Bayrou le chasse via un montage grossier que l’auteur fera casser par le tribunal de Paris.

En 2020, il crée son propre parti politique. Le président de la République en exercice qu’il appelle à renverser le fait jeter en prison avec sa famille. Interpol l’innocente dès le départ. A l’isolement pendant deux ans, le prisonnier politique écrit 6 livres, dont la fin de son roman Reinhardt Tarkand.

Spécificité

Livre écrit dans le plus pur style littéraire français classique. L’auteur se met en effet dans la peau d’un père lazariste, grand voyageur, qui rédige ses mémoires dans les années 1950. Précieux pour les lecteurs qui aiment et veulent faire découvrir un style relevé de notre langue.

Catégories bisac

Fiction / visionary, philosophical. Fiction / Sagas. Fiction / World War II

Mots-clés

Conquérants, Union soviétique, Armée rouge, Mongolie (désert de Gobi), Tibet, Chiang Kai-shek, Chine, Guerre civile chinoise, Invasion japonaise, Islam chinois, Grande Muraille de Chine, Route de la Soie, Vallée de la mort, Japon, Sacre des khans, Lamas guerriers du Tibet et de la Mongolie, Seigneurs de la guerre, Sociétés secrètes, Triades, Guildes, Opium, Sun Yat-sen, Mao Ze-dong, Longue Marche, Offensive des Cent Régiments, Kamikaze, Purges soviétiques, Putsch de 1936 à Tokyo, Pu-Yi, Sables mouvants de l’Ordos, Shanghai, Concessions Etrangères, Trains blindés, Mandchourie.

 

Poids 0,820 kg
Dimensions 21 × 14,8 × 4,28 cm

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