Il y avait un temps où ceux qui enlevaient les enfants étaient des criminels. Aujourd’hui, ce sont les États. Les États occidentaux, surtout européens, influencés par les États-Unis et leurs organisations anti-familles. Environ 100.000 cas de placement par l’ASE par an, rien qu’en France ! Monstrueux, non ? Et presque aucune réaction du public.
L’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) est une organisation qui prétend protéger nos enfants, mais en réalité, c’est tout le contraire. L’ASE est une secte, une secte au sein de l’État, plusieurs fois condamnée, mais toujours en activité. Pourquoi ? Parce qu’elle est intouchable, protégée à haut niveau.
Comment alors éviter un placement ASE ?
Prenons l’exemple réel de Lydie et son fils J.
J. est un enfant de 9 ans comme les autres mais avec des problèmes de santé important. À l’école du quartier, conseillée par le centre médico-social qui suit l’enfant, il est harcelé et racketté par ses camarades, mais aussi humilié et maltraité par sa maitresse.
« Il dit souvent : » Oh non, demain il y a de l’école, je vais encore devoir supporter ma maîtresse… » Sa maîtresse lui donnait des coups de pieds (il a des bleues pleins les jambes) , le poussait contre le mur, le punissait tous les jours de classe en classe… »
Malgré les signalements de la mère, rien ne bouge, si bien que J. Développe une phobie scolaire.
Sa mère, inquiète pour son bien-être, décide de lui faire l’école à la maison. Alors que tout s’arrange pour J. et que Lydie trouve un nouvel équilibre, tout bascule.
« Et là, je reçois un appel. Je décroche, un monsieur, le chef de service de l’aide à l’enfance de la SSP… Suite à cet appel, un jour, du monde devant la porte de notre maison. 3 personnes, puis 5 personnes, la SSP, La MDS… et j’en passe… Le monsieur, le responsable-chef de service de la SSP, me tend un papier tout mouillé un jour d’orages et pluies violents. C’est l’alerte rouge, il faudrait se mettre à l’abri, et bien non, pas le temps, il faut que je prépare les affaires du petit et il faut faire sortir au plus vite l’enfant du domicile familial, de son domicile. J. pleurait écroulé et paniqué. »
Ordonnance de Placement Provisoire
Voici le contenu du papier:
« Ordonnance de placement provisoire »
« Le procureur de la république près le tribunal de Grande Instance de Meaux
Vu les renseignements recueillis et les pièces jointes,
Vu les articles 375 et suivants du Code Civil,
Attendu que la santé, la sécurité, la moralité ou les conditions d’éducation de :
– C… J., né………
sont compromises en ce que J. est au cœur d’un important conflit de loyauté;
Que de surcroît, J. présente de gros problèmes de comportement qui ont motivé son orientation en ITEP; Que toutefois, Madame … refuse tout soin pour son fils malgré les préconisations des intervenants ; Qu’en outre, l’ensemble du travail des services éducatifs
est menacé par la volonté de Madame… de partir précipitamment en Martinique (prévue le 21/06/2016) où aucun inscription n’a encore été effectué pour J.;
ORDONNE que ce mineur soit provisoirement confié à l’Aide Sociale à l’enfance de XXX jusqu’à qu’il en soit autrement ordonné par le juge des enfants que nous saisissons ce jour par acte séparé.
Fait au parquet XXX. »(…)
Notez bien : ce n’est pas à cause de l’école à la maison que le problème survient, mais à cause d’une série de dénonciations, de délations qui ont démarré à l’école classique. Notez également que cette maman a un SSP, donc elle a été avertie, elle a eu des signes annonciateurs. Il ne faut surtout pas rester sans rien faire dans ces cas-là. On a toujours des signes qui annoncent l’événement.
Réalité du Placement ASE
Le placement par l’ASE représente une intrusion de l’État dans la vie privée des familles, souvent justifiée par des motifs discutables. Contrairement à ce que prétendent certains intervenants de l’ASE, le simple comportement d’un enfant ne devrait pas être une raison suffisante pour justifier un placement, sauf en cas de violence ou de maltraitance avérée. Comme le souligne le témoignage de cette mère ayant choisi l’école à la maison pour protéger son fils des violences à l’école, les décisions de l’ASE ont été arbitraires et n’ont pas tenu compte des meilleurs intérêts de l’enfant.
Dans le cas précis mentionné, malgré les efforts déployés par la mère pour protéger son fils et assurer son éducation dans un environnement sécurisé, l’ASE a utilisé des accusations infondées pour justifier un placement provisoire. Cette ordonnance de placement, basée sur des allégations de conflit de loyauté et de problèmes de comportement, démontre les risques d’abus de pouvoir et d’interférence excessive dans les affaires familiales par cette institution.
Les témoignages comme celui-ci mettent en lumière une réalité troublante : l’ASE, loin d’être une autorité suprême impartiale, peut agir de manière autoritaire et sans scrupules. Les parents se retrouvent souvent confrontés à une machine bureaucratique insensible, capable de prendre des décisions lourdes de conséquences pour la vie familiale, sans véritable examen approfondi ni considération adéquate des circonstances individuelles.
Prévenir le Placement ASE
Pourtant, il y a eu des signes et cette maman ne les a pas vu, elle ne les connaissait pas.
Voyons quelques signaux avant-coureur à ne pas négliger
- Insistance des services sociaux à vous contacter : Si vous recevez plusieurs appels ou visites d’assistants sociaux
- Demandes d’entretiens ou de rencontres fréquentes : Si les services sociaux demandent à vous voir régulièrement sans motif clair ou en insistant sur des prétextes qui vous paraissent injustifiés
- Menace de déménagement ou de départ à l’étranger : Si on vous met en garde contre un éventuel départ du pays ou si des mesures sont prises en anticipation d’un déménagement
- Historique de dénonciations ou de délations provenant de l’école ou d’autres services : Si votre enfant fait l’objet de signalements répétés provenant de l’école ou d’autres services, même sans preuves substantielles
- Préoccupations concernant l’éducation ou le comportement de l’enfant : Si des critiques ou des préoccupations sont exprimées concernant l’éducation ou le comportement de votre enfant, même sans preuves tangibles de négligence ou de maltraitance, par exemple par le personnel de l’école
- Suivi par des professionnels parascolaire et paraétatiques : si votre enfant a des problèmes de santé ou des difficultés nécessitant l’intervention d’un professionnel sous contrôle de l’État. Si nécessaire, optez pour des personnes qui ne travaillent pas pour l’état (Pourquoi il vaut mieux les éviter, comment les quitter ?, la réalité sur les centres médico-socio)
Il est alors crucial de prendre des mesures préventives pour protéger les enfants et prévenir un placement abusif par l’ASE.
Certaines familles ont choisi de suivre des stratégies proactives pour éviter les conséquences dévastatrices d’un placement injustifié.
- Changez de domicile, même provisoirement, dès que vous avez un appel vous menaçant d’une intervention. C’est la première mesure à prendre. appelez-nous immédiatement.
- N’envoyez plus votre enfant à l’école. Les témoignages de parents dont les enfants ont été enlevés alors qu’ils étaient à l’école, sont nombreux. Vous pouvez opter pour l’école à la maison.
- Préparez la sortie du territoire pour le cas où si la situation se détériore. Cela implique de se renseigner sur les démarches administratives nécessaires et de faire ses valises pour être prêt à agir rapidement si la situation l’exige. Voyez la formation ci-dessous
Sachez aussi que tant que vous n’avez pas eu un jugement, vous ne devez, en principe, jamais subir d’enlèvement de ce genre (de « placement », officiellement)
Si malgré tout, votre enfant à été placé par l’ASE
- Votre priorité, si l’enlèvement a eu lieu, est de récupérer votre enfant par toutes voies moralement défendables, prévues par la loi ou non : la sauvegarde d’un enfant séquestré est toujours prioritaire en droit constitutionnel. Vous alerterez vos amis, la presse, manifesterez publiquement ou choisirez une option plus discrète visant à exfiltrer l’enfant au moment opportun. Nous n’en disons pas plus mais ce moment se présente toujours, l’état étant obligé de vous restituer régulièrement l’enfant. Comprenez ce que nous disons là.
- N’acceptez jamais un enlèvement par l’Etat, résistez préventivement par tous moyens à votre convenance. Constituez-vous en groupes le jour où l’enlèvement est prévu. Si l’autorité publique est en minorité, elle reculera. Notez le nom et toutes les coordonnées de chaque intervenant, récoltez le maximum d’informations pertinentes à leur sujet.
Dans la formation, vous retrouvez les éléments de notre ancien “Stop-Signal”, qui a eu tant de succès. Nous l’avons adapté à la situation actuelle, que le gouvernement et les magistrats ont radicalisé.
Contactez-nous pour toute aide contre le placement ASE. Les membres de notre site sont protégés par la loi. Ils savent quoi dire, suivez aussi le webinaire.
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